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Rue Rompt Cul

bonne et heureuse année 2009

La Lettre du 12 janvier 2009

Je persiste et signe.

Cette nouvelle année commence dans le froid, la peur, le sang, la mort.

Le froid a encore tué à Paris, oui en France! Sait-on posé la question: pourquoi on ne meurt pas de froid à Oslo?

Le travail ne nourrit plus son homme.

On braque pour une poignée d'euros et l'on tue pour moins.

En 2009, que vaut une vie humaine?

Tout va à vau-l'eau, chacun reste campé sur ses postions, aucune concertation, aucune concession . Imaginez que dans un couple chacun fasse ce qui lui plait! Combien de temps tiendrait-il?

Je persiste et signe le monde est fou!

Pour adoucir ce début d'année, vous trouverez sur le Journal un récit de Marcel .L "Célestin".
Ce récit poétique a reçu un prix et a été publié aux éditions "La malle aux mots".

Toujours dans le Journal une critique du film "Choron dernière, vie et mort du Prof. Choron et de Charlie Hebdo" par Pépino.

Vous trouverez également la suite de la Tallardiade "La légende".

Enfin, dans les E-cartes une case "Objet du message" a été rajoutée afin de personnaliser à 100% votre envoi.

Faites un tour dans la rubrique "Le site recherche" il y a peut être quelque chose pour vous!

Merci à tous

A Bientôt

Cordialement.
L'administrateur

Mises à jours du 12 01 09

--- Dans le Journal, un récit poétique "Célestin" de Marcel L.
--- Egalement dans le Journal rubrique cinéma "Choron derniére"
--- Les E-cartes,  rajout d'une case "Objet du message".
--- La suite de la Tallardiade.
--- Le site a presque fini sa mue! Dites ce que vous en pensez.

Mises à jours du 18 12 08

--- Début du changement de style.
--- Introduction des annonces Google.
--- Nouvelle  E-cartes  "La région vue du ciel" ICI  et  "Tallard sous la neige" ICI.
--- Une nouvelle catégorie "Le bavard" dans Le Journal avec, pour commencer, un récit de Bardane05  ICI.
--- Une nouvelle série de cartes postales anciennes, contribution Marcel ICI.
--- Des nouvelles photos de la Durance en colère, contribution Marcel ICI.
--- Des photos de Tallard sous la neige, contributions Bernadette  ICI.
--- Micro bio de jean Faure  ICI.
--- Episode N°1 de La Tallardiade ICI.

Mises à jours du 15 11 08
--- Création d'un service "E-Carte".

Le site recherche
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C'est sur le site

Célestin
C'est la panique dans tout ce petit monde. Chacun détale suivant ses moyens.
Le lendemain matin, quand les nuages s'étendent et se gorgent de soleil, Célestin se réveille avec un souffle court et une respiration malaisée. Il est tout gris.
Devant lui, à quelques pas seulement, deux pauvres hirondelles gourmandes s'éteignent sur la luzerne, le bec ouvert, les ailes étalées pour un dernier envol qu'elles ne connaissent plus.
- Ah! Non! C'en est trop, s'écrie Célestin.
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Choron dernière
Pour beaucoup, Georges Bernier, où si vous préférez le Professeur Choron, c'était le chauve provocateur, qui fumait ses clopes au bout d'un long fume-cigarette et qui buvait du champagne. Avec ce film documentaire, "Choron dernière", on découvre des faces cachées de Choron avec un retour à l'enfance, mais aussi la manière dont on l'a évincé au début des années 1990 lors de la "renaissance" de Charlie Hebdo.
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Jean Faure
Jean Faure (dit Faure du Serre) nait le 24 mars 1774 à Chabotte.
Son père est un cultivateur peu fortuné, intelligent et laborieux, et destine le jeune Faure à l'état ecclésiastique.
Ainsi, le jeune Faure commence ses études chez le curé de sa paroisse dès l'âge de neuf ans, et il les continue tant bien que mal jusqu'en 1791.
La tourmente révolutionnaire dérange tout le plan du père, et le fils ...... 
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La Tallardiade
En effet, le cousin, fort de ses hautes relations, lui a fait espérer un évêché, peut-être même Gap qui attend depuis bientôt vingt ans d'avoir un évêque et se trouve administré par Digne. Si ce n'est Gap, ce sera du moins un évêché in partibus. Et déjà le curé, en secret dans sa chambre, étudie le cérémonial et s'exerce à des gestes de bénédiction.
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Quel pied
Près du quai, le bateau.
Nous étions deux à nous présenter pour l’emploi.
J’avais un pied dans l’étrier, mais je n’y avais jamais mis les pieds.
Lui avait un pied dans la place !
Bref, nous étions sur le même pied…
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