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LES
GUERINS - LES
COMBES DE VITROLLES |
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Passez la sourie sur
les photos afin de les l'agrandir |
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-- Si le temps si
prête, vous pourrez entendre de petits cris aigus et brefs,
ce sont les marmottes. Elles
ont été introduites dans le «
cassaoù » en 1992 par quelques chasseurs de
Sigoyer.
Piégées à Champoléon et
à Orcières par les techniciens et les
gardes-chasse de la
Fédération 05, elles se sont bien
adaptées à leur nouveau milieu, et ont
étendu leur
territoire jusqu'à Céüze.
Elles ne sont pas chassées. Clairette R. et Jean-Paul F.
procèdent à de fréquents
comptages et ont localisé les principales familles.
-- la marche vous fera découvrir le
lieu dit Le Forest, situé à une centaine de
mètres
au-dessous du col de Bois Rien, il accueillait les faucheurs des
prés alentours, abritait
jusqu'à l'automne le foin séché avant
son transport jusqu'à Céas.
-- Plus loin levez les yeux et vous apercevrez les Glezettes. Les deux
anfractuosités que
l'on aperçoit nettement sous le sommet de
Céuzette face ouest s'appellent « les
gleisettes » (petites églises), en raison de leur
forme ogivale.
-- Au fond du ravin sous les gleisettes, la
proximité d'une source, quelques pans de
murs, laissent deviner l'emplacement de jardins en terrasses que l'on
venait travailler
depuis le hameau de Céas.

-- Avant de prendre la montée vers Céas, on peut
trouver dans les taillis à droite du
sentier quelques containers rouillés, jetés
là par les résistants après la
réception du
matériel lors du parachutage de mai 1 944.
Clovis M., Gaston B., Mesmin G., Maurice G. ne sont plus là
pour témoigner, par contre
Marie-Jeanne P. ( Nini M.) et Adrien (Dindin) N., à l'Eglise
Neuve, vous en diront plus
sur le message émis par Radio Londres, sur le balisage du
terrain, etc
-- Arrivé au hameau de Céas.
C'était un des 3 fiefs de la commune de Sigoyer.«
En
1851, on y comptait 3 maisons, 3 ménages et 16 individus
» (F.N. Nicollet). Les dernières
familles à y vivre furent les GARCIN (Frérouns),
les JOUBERT (Bessouns) et les RAMBAUD
(l'abrégé).
-- Quittons
Céas, vous voyez nos « oulles » du
Diable" formées par les eaux "descendant de Céas
dans
un rocher en pente, ces marmites - du latin « olla
» ( marmite) - sont un exemple
d'érosion causée par l'eau. Elles sont beaucoup
plus petites que leurs célèbres cousines
du torrent de Navette, près de La Chapelle en Valgaudemar. 
Si vous êtes discrets et chanceux, vous
pourrez apercevoir quelques chamois, soit vers
le au de Céas.
-- Enfin
La grotte.
Présente dans la mémoire des Sigoyards,
située « vers le niveau des maisons de
Céas » par
F.N. Nicollet, personne n'a pu aider J-P F. à en
redécouvrir l'entrée. Ce n'est
qu'après
des journées d'investigations, de crapahutages,
d'explorations, d'acharnement, que la
chance lui a enfin souri. C'est le clou de notre promenade
d'aujourd'hui, même si cette «
tune » garde tout son mystère et que la
véritable « grotte des fénas
» est encore à
redécouvrir…
-- On quitte cet espace de plénitude
pour un retour au bercail par l'Esparanche. C'est
le passage difficile sur la route venant des Combes,
régulièrement
détérioré après chaque
orage important.
J'espère que ce sera pour vous une journée
agréable.
A bientôt pour une nouvelle découverte.
Un grand merci à Jean-Paul
Demande renseignements ICI
Nom du contact: Jean-Paul
Quelques photos pour que vous puissiez
rêver (Cliquez sur la
photo)
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Un
univers minéral |
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Quand
la petite Céüse se prend pour le toit du monde |
Dans
les nuages ! |
Mais
que regardent-ils |
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